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mercredi 27 janvier 2010

Marine le pen est elle notre ennemie?


Le Front National représenté par M. Sulzer, Marie-Christine Arnautu, conseillère régionale (amie de Marine Le Pen) et une dizaine d’autres frontistes, était présent au coeur de la manifestation en la mémoire d’Ilan ce dimanche à Paris. Si on en croit le Monde du 28 février, les représentants du FN étaient « sous la protection de deux militants de la Ligue de défense juive(1)» . Cette présence est une véritable révolution politique et sociale, car comme le clama l’un des 2 protecteurs du cortège des Frontistes : « Ce n’est pas le FN ou Villiers qui sont antisémites, ce sont les mouvements gauchistes pro-palestiniens. Avec eux aujourd’hui on a les mêmes ennemis« .
Ce rapprochement du Front National avec la communauté juive est à l’initiative de Marine Le Pen, Vice-présidente de ce parti. Sûrement encouragé par les propos tenus par Roger Cukierman, président du CRIF, dans un journal israélien après les résultats du premier tour de l’élection présidentielle en 2002, « le succès de Le Pen est un avertissement aux musulmans de France, leur indiquant de se tenir tranquilles« , le Front National version Marine Le Pen multiplia les gestes d’amitié avec les instances juives françaises au nom de la lutte contre l’islamisation de la France(2).
Au mépris de l’unité politique, durant l’affaire Gollnisch en octobre 2004, Marine Le Pen condamna les propos du Délégué Général du Front National et évoqua » le martyre du peuple juif par les nazis « . De plus, six proches de Marine Le Pen ne votèrent pas un communiqué de soutien à Bruno Gollnisch.
En décembre 2005, d’après Libération, Marine Le Pen adhéra au groupe d’études France-Israël au sein du Parlement européen et souhaite, actuellement, participer à ce titre au prochain voyage en Israël organisé par l’assemblée de Strasbourg.

A lire aussi : "Détail" : Marine Le Pen se désolidarise de son père

NOUVELOBS.COM | 28.03.2009

"Je ne pense pas que ce soit un détail de l'histoire", déclare la fille du leader frontiste qui a répété mercredi que les chambres à gaz étaient pour lui "un détail de l'histoire".... Afficher davantage

Marine Le Pen et son père (Reuters)
Marine Le Pen s'est désolidarisée de son père Jean-Marie, après que le leader du Front national a redit mercredi que les chambres à gaz étaient pour lui "un détail de l'histoire".
"Je ne pense pas que ce soit un détail de l'histoire", déclare sa fille dans l'émission "Ripostes" qui sera diffusée dimanche 29 mars sur France 5, confiant qu'elle se serait "bien passé" de cette polémique "parce que je pense que ça permet de se détourner des vrais sujets actuels".

"Ce qui est une évidence"

Condamné à plusieurs reprises pour avoir tenu de tels propos, le président du Front national avait déclaré mercredi à Strasbourg, en réponse au président du groupe socialiste au Parlement européen, Martin Schultz: "Je me suis borné à dire que les chambres à gaz étaient un détail de l'histoire de la (Seconde) guerre mondiale, ce qui est une évidence".
Marine Le Pen, vice-présidente du FN, assure que son père "n'a jamais nié aucun des événements de la Seconde guerre mondiale". Notant que "la spécificité de la Shoah en a fait un symbole en quelque sorte" de ce conflit, elle ajoute que son père, "pupille de la nation, ayant perdu son père, cherche en réalité à élargir en quelque sorte la mémoire collective à l'ensemble des victimes et le fait sûrement de manière maladroite". (avec AP)

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